La France connaît, depuis des années, une forte pression fiscale, supérieure de près de quatre points à la moyenne de la zone euro, et d'une dette publique gigantesque, dont la charge représente le deuxième poste de dépense de l'Etat derrière l'enseignement scolaire. A cet égard, le projet de loi de finances pour 2008 est un budget de continuité, plutôt que de rupture : il prévoit que le poids des impôts et des cotisations représentera 43,7 du PIB et que la charge de la dette dépassera les 42,4 milliards d'euros.
Accédez à la suite de cet article du Monde du 27.09.2007 sur www.lemonde.fr :
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-960178,0.html